Malgré mon carnet très zen

Mes nuits sont hantées de figures improbables… quand mon téléphone crépite, je bafouille…je file mes dessins aux japonais…dans le métro, les gens ne sortent pratiquement plus des cadres…parfois, quand ils s’en extirpent, je crois voir Tonton David ou des tronches de tueurs taillées à la serpe…mais que se passe-t-il ?

L’été, la légèreté, l’insouciance sont-ils réservés aux « autres » ? En attendant d’hypothétiques vacances, y faudrait vraiment que je sois plus cool…