je quitte les zincs crasseux, les regards endormis devant leurs demis, le commerce des tissus et des chairs de la rue St Denis...

Je vais là où les ciels lavés changent d'humeur 100 fois par jour...où la mer et le vent se marient pour mettre au loin les pavés parisiens et ce qu'ils suintent de tracas quotidiens

...des vacances...